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(Quinze heures trente-sept minutes)
Le Président (M. Marquis): La commission permanente de
l'aménagement et des équipements est réunie afin de
procéder à la vérification des engagements financiers des
mois de janvier, février et mars 1985 du ministère de
l'Environnement en présence du ministre, M. Adrien Ouellette.
Monsieur Je secrétaire, pourriez-vous vérifier la liste
des membres présents, s'il vous plaît?
Le Secrétaire: Oui, M. le Président. Sont membres
de la commission: Mme Bacon (Chomedey), M, Beauséjour (Iberville), M.
Desbiens (Dubuc), M. Gravel (Limoilou), M. Le Blanc (Montmagny-L'Islet), M.
Lévesque (Kamouraska-Témiscouata) et M. Marquis
(Matapédia).
Réponses déposées
Le Président (M. Marquis): Merci beaucoup. Alors, je
dépose la liste des réponses obtenues aux questions en suspens
à la suite des séances des 19 et 28 mars 1985. Est-ce qu'il y a
des questions sur des engagements déjà vérifiés du
ministère de l'Environnement, Mme la députée de
Chomedey?
Mme Bacon: Non, je pense qu'on pourrait commencer, M. le
Président, avec votre permission, à janvier 1985, pour
aujourd'hui...
M. Ouellette: Juste avant, il faudrait préciser quelque
chose: qui est le président? Parce que j'ai entendu M. le
Président s'adresser à son voisin sous le vocable de M. le
Président.
Mme Bacon: II a fait un petit lapsus. M. Ouellette: Alors,
cela va. Janvier
Le Président (M. Marquis): La correction sera faite. Donc,
nous passons à l'étude des engagements financiers de janvier
1985. Mme la députée de Chomedey.
Mme Bacon: Merci, M. le Président. L'engagement 117, un
contrat de services a été donné pour assurer le
contrôle qualitatif du béton de ciment qui est mis en place lors
de la construction d'un barrage sur la rivière Saint-François
à Disraeli. Le fournisseur choisi a été Technisol inc.
Quels sont les travaux qui sont réalisés jusqu'à
maintenant, jusqu'à ce jour?
M. Ouellette: La partie centrale en béton est maintenant
terminée, on a confié déjà des contrats à
Sométal pour la confection des vannes. D'ici la fin de l'automne, les
travaux vont être pratiquement terminés. Il s'agit du barrage
Allard.
Mme Bacon: II n'y a pas d'autres fournisseurs qui ont
été contactés? C'est le seul?
M. Ouellette: Dans le cas de la surveillance ou du contrôle
du béton, on a fait appel au fichier central qui nous a fourni le nom de
cinq firmes dont les compétences ont été
évaluées par un comité d'évaluation et la grille
d'évaluation a retenu le nom de Technisol inc. Je peux vous donner le
pointage de chacune des firmes, si vous le souhaitez.
Mme Bacon: Vous avez peut-être les prix qui avaient
été offerts à ce moment dans les soumissions de ceux qui
avaient offert leurs services?
M. Ouellette: C'est un prix fixe qui est
décrété. Le prix aurait été le même
pour chacune des firmes retenues, c'est le pointage à partir de la
grille d'évaluation qui a fait qu'on a retenu l'une plutôt que les
quatre autres.
Mme Bacon: Vous avez ce pointage ici.
M. Ouellette: Oui. Les laboratoires de matériaux de
Québec Inc., a obtenu 67 points; Inspec-Sol inc., 73 points; Technisol
inc. - qui a eu le contrat - 79 points; Labo-S. M. inc. 76 points; Techmat 1983
Inc., 54 points.
Mme Bacon: D'accord pour cela M. le Président.
Le Président (M. Marquis): Les engagements financiers pour
le mois de janvier 1985 sont-ils vérifiés?
Mme Bacon: Non, je n'ai pas fini. Le Président (M.
Marquis): Je m'excuse. Mme Bacon: Pour celui-ci, cela va. Le
Président (M. Marquis): D'accord.
Mme Bacon: L'engagement 36-2: "Subvention à
l'Administration régionale Kativic à titre d'aide
financière pour sa participation au travail des comités en
matière d'environnement, pour l'année financière
1984-1985. " Est-ce qu'il s'agit là de dépenses qui sont
liées è l'administration ou si le montant de 120 300 $ sert
à de la création d'emplois?
M. Ouellette: Il s'agit tout simplement du traitement des
autochtones qui siègent aux comités de l'ARK et de Kativik, le
tout en fonction de l'article 104 de la Loi sur la qualité de
l'environnement, qui autorise le ministère à verser des
subventions pour des études de recherche et pour la préparation
de plans de programmes et de projets concernant l'environnement. Comme le tout
est fait par l'Administration régionale Kativik, l'ARK, elle, participe
donc à la procédure des études d'impact sur
l'environnement au nord du 55e parallèle. Ce sont des traitements
versés à des autochtones qui siègent à ces
comités prévus aux ententes de la Baie James.
Mme Bacon: Comment peut-on comparer le budget de 120 300 $ par
rapport à celui de l'an dernier? Est-ce que ce sont des budgets qui
reviennent annuellement? Est-ce qu'on peut les comparer par rapport à
ceux de l'an dernier? Est-ce qu'il y a une augmentation ou est-ce qu'il y a une
diminution?
M. Ouellette: C'est strictement la même chose. L'an
dernier, cette somme était fournie par le ministère des Affaires
municipales. Cette année, elle l'est par le ministère de
l'Environnement, mais c'est le même montant.
Mme Bacon: C'est le même montant, d'accord.
L'engagement 36-3. C'est un contrat pour travaux de construction d'une
station de pompage. Mon collègue de Richmond voulait être ici et
il avait certaines questions à poser. C'est le no 24, je m'excuse. On va
adopter le mois de janvier si cela ne vous fait rien, M. le Président,
et après cela, on pourra continuer dans...
Le Président (M. Marquis): Les engagements financiers du
ministère de l'Environnement pour le mois de janvier 1985 sont
vérifiés.
Février 1985.
Février
Mme Bacon: M. le Président, avec votre permission, on
pourrait peut-être retarder un peu l'engagement 24 et y revenir quand mon
collègue de Richmond sera ici puisqu'il avait des questions
spécifiques à poser. Le no 25: "Subvention è la ville de
McWatters pour la réalisation des travaux de restauration du parc
à résidus miniers McWatters. " Est-ce qu'on pourrait nous
expliquer quelle est la nature de ces travaux? On parle de la restauration du
parc. (15 h 45)
M. Ouellette: C'est cela. C'est l'aménagement de deux
ponceaux pour l'accès aux résidus miniers; il y a le nettoyage
des contours des deux parcs à résidus et de l'ancien
dépotoir McWatters; il y a la construction d'une route d'accès
aux parcs à résidus et à l'ancien dépotoir des
travailleurs résidant à McWatters; il y a eu le creusage d'un
fossé à l'extérieur de la zone contaminée, et il y
a eu le nivellement du matériel excavé, le transport du
matériel de recouvrement et de nivellement de ce matériel ainsi
que les régalages des pentes et finalement l'ensemencement hydraulique
de ces pentes et de ces aires de résidus, l'ensemencement
mécanique des parcs à résidus et de l'ancien
dépotoir, selon les normes du ministère des Transports.
Mme Bacon: Est-ce qu'il y a un échéancier qui a
été présenté au départ pour ces travaux?
Comment se situent les travaux par rapport à l'échéancier,
s'il y en a un?
M. Ouellette; On me dit que ces travaux vont se terminer au cours
du mois de mai. Ce sont des travaux qui auraient dû normalement ou qui
auraient pu s'effectuer au ministère de l'Environnement, mais qui ont
été confiés à sa demande à la
municipalité, qui les réalise. C'est pourquoi on lui verse cette
subvention.
Mars
Mme Bacon: Alors, on a suivi les échéanciers qui
avaient été établis au départ. Avant d'adopter les
engagements de février, M. le Président, on devrait
peut-être attendre, on pourrait revenir pour le 24 et aller tout de suite
au mois de mars.
Il y a un "contrat de services pour la réalisation d'une
étude de recherche sur la géochimie, ia géochronologie
sédimentaire récente de dix lacs acides à eaux claires de
la région de Rouyn-Noranda". À quelles fins va servir cette
étude qu'on a donnée?
M. Ouellette: En fait, cela fait partie d'une série
d'études régionales qu'on conduit
pour avoir le bilan le plus clair, le plus exhaustif possible sur les
effets des pluies acides en milieu hydrique. Ce dossier vise évidemment,
en particulier, la région d'Abitibi-Téliscamingue, pour voir dans
le détail les effets négatifs de la présence de la
fonderie Horne de Noranda. C'est dans le cadre d'une série
d'études régionales.
Mme Bacon: Est-ce que le ministère sentait le besoin de
donner ce contrat parce qu'il n'avait pas suffisamment d'expertise à
l'intérieur du ministère pour faire ces recherches? Ne
possédait-on pas déjà des recherches à
l'intérieur du ministère au lieu d'aller à l'INRS?
M. Ouellette: Étant donné qu'il s'agissait
d'analyses de sédiments, le ministère n'a pas à son
service les gens compétents pour travailler sur de telles études;
c'est pourquoi on a fait appel à l'entreprise privée, c'est
vraiment très spécialisé comme travail.
Mme Bacon: Est-ce que cette recherche est terminée ou
si...
M. Ouellette: Ce sont des études qui vont se poursuivre
jusqu'au mois de décembre et les rapports vont être
déposés en mars 1986.
Mme Bacon: Ce qui fait qu'il y a 30 000 $ en 1984-1985 en
imputation budgétaire, et 21 000 $ en 1985-1986.
M. Ouellette: Cela se partage sur deux années.
Mme Bacon: L'engagement 25, M. le Président, 60 000 $,
"Contrat pour la fourniture des services d'entretien et d'amélioration
de la programmation du système informatique NOVA 4X dédié
exclusivement à l'acquisition en temps réel des données
sur l'environnement pour une période de 3 ans. " C'est un montant de 60
000 $ qui a été imputé au budget 1984-1985. Il n'y en a
pas eu en 1984-1985; cela serait pour le prochain budget?
M. Ouellette: En fait, c'est un montant total de 60 000 $
réparti sur trois ans, donc 20 000 $ par année.
Mme Bacon: En quoi consiste l'acquisition en temps réel
des données sur l'environnement pour une période de trois
ans?
M. Ouellette: C'est une pièce d'équipement, du type
information, à laquelle on peut recourir...
Mme Bacon: C'est de l'informatique.
M. Ouellette: C'est cela. On peut y recourir en tout temps pour
obtenir des informations; c'est pourquoi le contrat se répartit sur
plusieurs années, pour être certain que l'équipement est
disponible à toute heure du jour.
Mme Bacon: Est-ce que cela va faire partie du genre de
téléinformation que vous avez au ministère? Est-ce qu'on
va se servir des données qu'on va retrouver là-dedans? Est-ce que
c'est à la disposition du public, par la suite, ou si c'est seulement
à l'interne?
M. Ouellette: En fait, ce sont des informations qui sont
recueillies sur les débits d'eau et qui servent non seulement au
ministère de l'Environnement, mais également à tous ceux
qui ont une opération ou une gestion quelconque de l'eau, que ce soit
Hydro-Québec, que ce soit la Société Alcan, par exemple.
C'est tout simplement pour avoir en main les données des
quantités de pluie, des quantités de neige pour essayer de
mesurer les débits des cours d'eau et contrôler les barrages en
conséquence.
Mme Bacon: Mais ces informations sont disponibles. ,
M. Ouellette: Oui. Il faut dire que les principaux usagers de ce
système paient une partie des frais. Le ministère de
l'Environnement n'est pas seul à entretenir cela.
Mme Bacon: Les 60 000 $, c'est la participation du
ministère de l'Environnement. Quel peut en être le coût
total?
M. Ouellette: Ces 60 000 $, ce n'est qu'une partie des
coûts réels, parce ce qu'il y a d'autres éléments
qu'on doit financer, mais une bonne partie de la facture est reçue, par
la suite, par les principaux utilisateurs, qui remboursent au ministère,
au gouvernement, une partie des coûts de fonctionnement du
système.
Mme Bacon: Oui, d'accord. Engagement 26: subvention à la
ville de Sherbrooke. C'est dans son dossier de la collecte sélective, la
récupération-recyclage, je suppose.
M. Ouellette: Cela fait suite au sommet sur la
récupération-recyclage au cours duquel le ministère de
l'Environnement s'était engagé dans son plan de
développement à aider la ville de Sherbrooke pour la mise au
point d'un camion spécialisé pour la cueillette sélective
parce que l'argent ne vient pas du programme PARFAIR, mais il vient du budget
de plans d'aménagement du ministère.
Mme Bacon: Est-ce que cela veut dire
qu'il est possible pour d'autres villes de faire appel au
ministère de l'Environnement pour avoir de l'aide, comme ces 40 000 $,
par exemple, à Sherbrooke? Est-ce que cela veut dire que d'autres villes
qui seraient intéressées - il y en a qui commencent à
être intéressées à la
récupération-recyclage -pourraient faire appel à des
ressources financières au ministère?
M. Ouellette: II faut être très prudent dans ce
domaine parce que, si on ouvrait les portes, probablement que les 1550
municipalités nous feraient des demandes. Nous avons acquiescé
à la demande de Sherbrooke parce qu'il s'agissait là d'un projet
pilote de mise au point d'un appareil qui pourrait éventuellement
être développé au Québec et éventuellement
acquis par les compagnies de cueillette d'ordures ménagères ou
par les municipalités. Or, c'était vraiment un projet pilote et
nous limitons le plus possible nos interventions pour ne pas avoir à
créer de programmes très coûteux.
Mme Bacon: C'est un peu le but de ma question, parce que je me
dis: Si une ville peut avoir cette possibilité, il va sûrement y
avoir d'autres villes qui vont avoir envie de faire la même demande.
M. Ouellette: C'est cela. Il nous est arrivé
évidemment d'aider d'autres municipalités, mais toujours dans le
même esprit. J'ai ici sous les yeux un montant de 12 000 $ à la
Communauté urbaine de Québec pour réaliser une
étude permettant de trouver des substituts pour alimenter son
incinérateur. Le problème se pose également à
Montréal, parce que ces deux villes, lors du sommet, nous ont dit
être un peu hostiles à la cueillette du papier étant
donné que retirer cela des déchets domestiques serait les priver
d'un carburant intéressant pour leurs incinérateurs. On a donc
subventionné la Communauté urbaine de Québec pour faire
une étude afin de découvrir si d'autres carburants ne seraient
pas aussi efficaces et moins coûteux que de laisser brûler le
papier journal, par exemple. Alors, on y va de façon très
prudente.
Mme Bacon: Est-ce que c'est la seule ville pilote ou si on peut
penser qu'il peut y en avoir d'autres? Je ne veux pas dire l'ensemble, mais
quelques-unes pourraient faire appel au ministère et on s'en servirait
comme villes pilotes.
M. Ouellette: On est disposé è recevoir toute forme
de demande d'expérience pilote. Évidemment, on peut y
répondre dans la mesure où nos budgets nous le permettent, mais
nos budgets sont quand même relativement restreints.
Mme Bacon: Pour cela, je vous donne raison. Cela va. À
l'engagement 27. Et vous me donnez raison aussi,
M. Ouellette: J'ai bien dit relativement.
Mme Bacon: II y a une autre subvention à l'Administration
régionale de Kativik. Est-ce que ce sont d'autres activités qui
sont reliées à l'hygiène du milieu? Est-ce que le ministre
pourrait s'expliquer davantage?
M. Ouellette: En fait, cette deuxième subvention a
été accordée dans le cadre du programme de
l'hygiène du milieu et cela aussi découle de la convention de la
Baie James.
Mme Bacon: Et c'est la part du ministère de
l'Environnement. Est-ce que le ministère des Affaires sociales en donne
aussi?
M. Ouellette: Je ne saurais dire. Ici, on m'indique que le
protocole d'entente a pour objet d'assurer que les municipalités inuit
soient dotées de soutien adéquat en matière
d'hygiène du milieu, soit par le maintien d'une spécialiste en
environnement et de deux techniciens inuit. Remarquez qu'on essaie toujours de
développer les talents locaux parce que c'est une façon de leur
venir en aide et de s'assurer que le milieu se prend vraiment en main dans
l'esprit de la protection de l'environnement sur place.
Mme Bacon: Est-ce que les 91 467 $ ont été en
partie utilisés pour des salaires ou seulement pour des services?
M. Ouellette: C'est beaucoup pour des salaires. Je parlais de
spécialistes, par exemple. Environ 80 % de ces sommes d'argent passent
en salaires.
Mme Bacon: Aux gens du milieu?
M. Ouellette: Autant que possible, oui.
Mme Bacon: Dans quel pourcentage, pour les gens du milieu?
M. Ouellette: Dans le cas des trois personnes mentionnées,
il y a deux techniciens qui sont d'origine inuit.
Mme Bacon: D'accord. Cela va pour le moment.
Le Président (M. Marquis): Les engagements financiers pour
le ministère de l'Environnement du mois de mars 1985 sont
vérifiés.
Mme Bacon: II y aurait seulement le fait que mon collègue
de Richmond n'est pas
là. II y a une question que j'aurais à poser sur les
engagements de février, au no 24: Constructions D. Tardif et Fils inc.,
imprévus et variations: 147 957 $. Est-ce que le ministre peut
m'expliquer ce que cela veut dire? Est-ce que ce sont des réserves qu'on
se fait?
M. Ouellette: Comme il s'agit de contrats à prix unitaire,
on réserve toujours une enveloppe de 10 % pour couvrir les variantes. Je
vous donne un exemple. S'il s'agit de procéder au creusage d'une
tranchée, on présume qu'il y a 10 % de roc alors qu'en effectuant
les travaux il peut y en avoir 20 %, à l'élément "roc",
qui est plus coûteux que le sol régulier; on peut avoir une
surprise. À ce moment-là, la surprise est couverte à
même les 10 % prévus à l'enveloppe, pour
l'imprévu.
Mme Bacon: Dans la construction de la station de pompage,
où en est rendu le dossier?
M. Ouellette: On m'indique que les travaux de béton sont
presque terminés et que l'usine de pompage sera en activité
à la fin de l'été.
Mme Bacon: On indique: le plus bas soumissionnaire: 1 640 000 $,
mais on voit 1 625 000 $. Il y en a deux qui ont soumissionné.
Léapi Construction inc. avait 1 625 000 $.
M. Ouellette: Il y a eu...
Mme Bacon: Est-ce que c'est à cause des trois volets?
M. Ouellette:... onze soumissions, une de 1 625 000 $, celle de
Constructions D. Tardif et fils inc., celle...
Une voix: C'est le plus bas.
M. Ouellette: C'est le plus bas. Le plus près était
Léapi Construction, à 1 625 973 $
Mme Bacon: Est-ce que cela pourrait arriver, à un moment
donné, qu'on ne donne pas le contrat nécessairement au plus bas
soumissionnaire à cause, peut-être, de certains détails ou
de certains...
M. Ouellette: Aussitôt qu'une entreprise...
Mme Bacon:... volets?
M. Ouellette: Aussitôt que la soumission est jugée
conforme, on doit l'accorder au plus bas soumissionnaire. Il arrive parfois que
certaines soumissions ne sont pas conformes. À ce moment-là,
elles sont
rejetées.
Mme Bacon: D'accord. Cela va.
Le Président (M. Marquis): Les engagements du mois de mars
1985 du ministère de l'Environnement sont vérifiés.
Mme Bacon: Février aussi, M. le Président.
Le Président (M. Marquis): Je déclare que les
engagements financiers du ministère de l'Environnement, pour les mois de
janvier, février et mars 1985 sont vérifiés. Quant aux
engagements financiers des mois de janvier, février et mars 1985, en ce
qui concerne l'Office de planification et de développement du
Québec, le Fonds de développement régional et la Voirie
des régions relevant du ministre délégué au
Développement et à la Voirie des régions, ils sont
reportés à une séance ultérieure. Là-dessus,
la commission de l'aménagement et des équipements ajourne ses
travaux au jeudi 30 mai, à 10 heures.
(Fin de la séance à 16 heures)