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Point de presse de M. Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux

Version finale

Tuesday, September 21, 2021, 11 h 30

Hall principal de l'hôtel du Parlement, hôtel du Parlement

(Onze heures trente-neuf minutes)

M. Dubé : Alors, bonjour, tout le monde. Un peu comme à l'habitude, je vais commencer par une petite mise à jour sur la pandémie puis après ça peut-être que je pourrai traiter de quelques points d'intérêt pour nous.

Alors, premièrement, sur la pandémie, je veux juste qu'on reste prudents, mais qu'on apprécie quand même la situation où on semble être sur un plateau depuis quelques jours. Mais je demanderais qu'on reste prudents parce qu'on sait que, quand on est dans le mois de septembre puis qu'on se rapproche d'octobre, il y a quand même… Il a fait très beau en septembre, puis, lorsqu'il fait beau, bien, les gens restent à l'extérieur. Puis on sait que souvent les virus grippaux, incluant la COVID, sont encore plus dangereux lorsqu'on est à l'intérieur. Donc, je veux juste dire qu'il faut faire très attention, mais on peut quand même apprécier que les cas semblent stables pour l'instant.

Deux remarques que je ferais. Parce que, lorsqu'on suit nos différents indicateurs, on voit qu'on a des débuts d'éclosions dans les RPA, particulièrement dans la région de Montréal. Et moi, ce que je demanderais aux gens de ces résidences-là, puis on va en reparler un petit peu plus tard cette semaine : de continuer à porter le masque. Parce que c'est important, c'est très important qu'on continue d'avoir des mesures sanitaires. Le deuxième secteur où on peut avoir des enjeux, parce que les enfants ne sont pas vaccinés, les jeunes enfants, c'est au niveau des services de garde, des garderies. Donc, je dirais : Respect des mesures sanitaires, dans ces deux cas-là, de ne pas oublier que, même si on est vacciné, on doit continuer de respecter les mesures sanitaires.

Et je redirais mon message habituel. On n'a pas encore vacciné tout le monde, il nous reste du temps, il nous reste des vaccins. Alors, s'il vous plaît, pour ceux qui ne sont pas vaccinés, allez vous faire vacciner, c'est très important. On le voit, ceux qui, malheureusement, vont aux soins intensifs, ces temps-ci, ce sont des personnes qui sont non adéquatement vaccinées.

Bon, maintenant, les deux points que je voulais faire, c'est premièrement sur la question des ressources humaines. Sur la question des ressources humaines, je dois vous dire qu'on a travaillé beaucoup sur un nouveau modèle de gestion des ressources humaines au cours des derniers mois. Ce nouveau modèle de gestion là, on l'a testé beaucoup dans quelques cas pratiques. Puis je vous donne des exemples.

On l'a testé pour la première fois lorsqu'on a fait, à l'automne dernier, le plan de la deuxième vague. On avait vu ce qui s'était passé. Puis, quand je parle d'un modèle de gestion, c'est un modèle qui est très décentralisé, qui travaille de très près avec les P.D.G. Alors, ce que je vous dirais, ce nouveau modèle de gestion là, on a vu qu'il peut fonctionner à succès. Il a fonctionné à succès dans le plan de la deuxième vague, il a très bien fonctionné dans la vaccination, et ce que je vous dis, c'est qu'au niveau des ressources humaines on va appliquer la même approche.

Alors, qu'est-ce que ça veut dire? Puis vous l'avez vu dans la vaccination : ça rend des employés qui sont heureux, qui ont le goût de travailler dans le réseau de la santé, et en plus, bien, ça rend les clients, ça rend les patients très heureux parce qu'ils sont dans un environnement où ils étaient même surpris de voir que le réseau de la santé pouvait offrir ce type de service à la clientèle.

Donc, ce que je vous dis aujourd'hui, c'est que, malgré les difficultés que l'on a avec le modèle de… avec la situation des ressources humaines, au cours des prochains jours — donc, mon troisième point — jeudi, avec le premier ministre, on va venir vous expliquer concrètement les mesures que l'on va appliquer, les mesures sur nos ressources humaines, pour être capables de mettre en place toutes les conditions préalables pour que notre modèle de gestion, qu'on a appliqué dans la vaccination, qu'on a appliqué pour la deuxième vague, puisse permettre à nos employés d'avoir le goût de rester à travailler en santé, mais aussi de donner le goût à des employés qui avaient soit quitté soit à la retraite, le goût de revenir travailler avec nous.

Alors, je ne vous en dis pas plus parce que ça va être jeudi, mais je vous dis que j'ai très hâte, avec le premier ministre, de vous présenter ce plan-là sur les ressources humaines.

Mme Richer (Jocelyne) : …le temps supplémentaire obligatoire?

M. Dubé : Bon, écoutez, je ne vais pas tout vous dire ce que je vais vous dire jeudi, mais il y a une chose qui est certaine, c'est qu'on a bien entendu, parce qu'on est sur le terrain... on a bien entendu les demandes de la FIQ et des autres syndicats. La question du temps supplémentaire, la question de baisser l'utilisation des ressources, ce qu'on appelle la M.O.I. , là, les ressources externes, on a entendu comment c'était important d'avoir ce qu'on appelle la gestion locale des horaires. Bon, alors, tout ce qu'on a entendu des demandes de la FIQ et des autres syndicats, vous pouvez voir que ça va être sur notre menu, et c'est là-dessus qu'on va traiter, des mesures très précises pour retenir mais aussi attirer des gens à revenir vers le réseau.

M. Laforest (Alain) : …résultats de l'élection fédérale hier, là, quel est votre rapport de force que vous avez, maintenant, alors que Justin Trudeau a été très clair qu'il voulait imposer des normes dans le réseau de la santé? Est-ce que vous n'êtes pas dans une position où vous êtes affaiblis aujourd'hui?

M. Dubé : Bien, écoutez, je pense que les gens se rendent bien compte, là, qu'on a des besoins en santé qui sont énormes. On a dit que la santé, c'était de compétence du Québec. Je pense qu'on a montré que, quand on a les fonds nécessaires, on est bien capables de les gérer. Moi, j'ai très hâte... J'ai très bien travaillé avec Mme Hajdu, au cours des derniers mois, et la nouvelle ministre de la Santé, lorsqu'elle sera confirmée, on va…

M. Laforest (Alain) : Vous n'êtes pas affaiblis, là?

M. Dubé : Bien, écoutez, moi, j'ai toujours trouvé qu'on était capables de montrer qu'on est bien capables de gérer notre système de santé. Puis, quand on aura les fonds nécessaires, bien, on va être capable de faire encore mieux.

Mme Prince (Véronique) : Oui, mais M. Trudeau pense le contraire. M. Trudeau, lui, il pense que vous n'êtes pas capables de bien le gérer, là, c'est pour ça qu'il veut imposer des normes nationales. Donc, est-ce que c'est une bataille que vous vous apprêtez à mener?

M. Dubé : Bien, écoutez, on a plusieurs batailles. Mais moi, je pense qu'il y a un message clair que notre premier ministre a dit : On n'a pas besoin de plus de fonctionnaires, on a besoin de plus d'infirmières. Et, dans ce cadre-là, le fédéral, dans un champ de compétences du Québec, c'est de nous donner les moyens de montrer qu'on est capables de bien gérer. Puis ça, je pense qu'on va le faire.

M. Bergeron (Patrice) : ...des normes nationales?

M. Dubé : Écoutez, pour moi, c'est très clair que la santé... je vais le répéter, là, la santé, c'est un champ de compétences du Québec, et on va demander des fonds nécessaires, parce que les Québécois sont en droit d'attendre des très bons services. Alors, pour moi, je vous réponds : la santé, c'est un champ de compétences du Québec.

Mme Lévesque (Fanny) : Dans votre modèle que vous allez présenter dans deux jours, là, est-ce que ça va passer, ce nouveau modèle de gestion là, par une bonification des salaires des infirmières et par l'ajout d'incitatifs financiers? Est-ce que vous allez vers là?

M. Dubé : Alors, ça, je vous dirai tout ça jeudi. Mais ce qui est important de se rendre compte... puis ça, moi, je suis content parce que j'ai passé beaucoup de temps avec, justement, la ministre, la présidente du Conseil du trésor. Je vous ai dit, la semaine dernière, puis je vais vous le redire : Enfin, on a une convention collective, avec la FIQ notamment puis les autres syndicats, qu'on peut appliquer, là. C'est une question de jours. On est là.

Maintenant, moi, ce qui est intéressant, puis c'est ça, je pense, notre rôle à la Santé, maintenant que le Trésor a négocié une bonne convention puis que les employés sont contents de cette convention-là, maintenant, moi, c'est de la faire atterrir, c'est d'être capable de dire : Les engagements qui ont été pris par le gouvernement, comment on peut les faire arriver plus vite? Puis c'est ça que je vous expliquerai jeudi.

Mme Lévesque (Fanny) : ...juste en suivi à ce que vous venez de répondre, est-ce qu'on peut comprendre, finalement, parce que M. Legault avait ouvert la porte à ça la semaine dernière : là, ce ne serait plus le cas nécessairement d'ajouter, là, une entente ou de bonifier ce qui était déjà négocié avec la FIQ?

M. Dubé : Bien, écoutez, je pense que la... Moi, j'ai entendu les infirmières, puis on verra, là, comment tout va se mettre en place, jeudi... Mais les infirmières nous ont dit souvent, puis c'est pour ça tout à l'heure, à l'autre question... ce qu'elles veulent avoir, c'est des conditions de travail, un environnement de qualité puis un peu sous le même principe qu'on a fait avec les CHSLD, où on avait ajouté 10 000 personnes. La convention dit qu'il faut ajouter du personnel. On s'est engagés à le faire. Ça fait que moi, je vous dirais, les primes, c'est une chose, mais il y a une chose que les gens veulent, les infirmières veulent un meilleur environnement de travail. Puis c'est ça qu'on va mettre sur la table puis, je le répète, comme on l'a fait pour la vaccination.

Mme Porter (Isabelle) : ...parliez tout à l'heure, est-ce qu'il va coûter des centaines de millions de dollars, comme M. Girard l'avait laissé entendre tout à l'heure?

Puis je voudrais savoir aussi si vous maintenez l'objectif de recruter de 4 000 personnes, cet automne, de plus dans le réseau, avec le plan qui va être dévoilé jeudi.

M. Dubé : Bien, c'est exactement ça, l'objectif. Je vous ai dit : Aller trouver 4 000 infirmières, on ne pouvait pas attendre d'avoir la formation nécessaire. Ce n'est pas quelque chose qui se fait comme pour les PAB. Alors là, on s'est assis ensemble, tout le monde, avec les gens des ressources humaines, avec les gens du ministère, avec la présidente du Conseil du trésor, avec le ministre des Finances, puis on a dit, dans notre cellule de crise habituelle, là : Comment, de façon tactique, on va faire arriver ça? Et c'est ça qu'on va présenter jeudi. Mais laissez-moi encore une couple de jours, on va être très...

Mme Porter (Isabelle) : ...tu sais, au début, vous nous parliez d'incitatifs financiers, puis là, tout d'un coup, vous nous parlez d'un nouveau mode de gestion...

M. Dubé : Bien, écoutez...

Mme Porter (Isabelle) : Est-ce que vous avez changé d'idée? Est-ce que vous avez changé d'approche?

M. Dubé : On est loin d'avoir changé d'idée, au contraire. Ce que je vous dis : On va présenter quelque chose qui est global puis, je pense, qui va faire que les gens, les gens vont avoir le goût : les infirmières, qu'elles soient soit à la retraite ou qui ont quitté récemment, et surtout celles qui sont là en ce moment, qui sont un peu tannées. La quatrième vague a été très difficile, très difficile. Elle l'est encore. On veut supporter ces gens-là. Puis vous allez voir, le plan qu'on va présenter jeudi, je pense qu'il va faire l'affaire de bien du monde.

M. Laforest (Alain) : Est-ce que c'est une révolution?

M. Dubé : Non, moi, je pense que c'est... Je le dis depuis le début, on ne joue pas dans les structures, je n'embarque pas là-dedans. Mais il y a une chose, il y a des meilleures pratiques, qui fonctionnent. Puis je le répète, là, ce que vous avez vu, ce que les gens ont...

M. Laforest (Alain) : ...du privé, là, quand on parle de meilleures pratiques, est-ce qu'on révolutionne les façons de faire, on donne plus de souplesse...

M. Dubé : Non, je pense que... Non, mais, M. Laforest, c'est une bonne question. Il y a des meilleures pratiques, dans le modèle public, on en a parlé l'autre fois. Il y a des CISSS, des CIUSSS, par exemple, qui travaillent très bien, qui n'ont pas de temps supplémentaire obligatoire, qui utilisent très peu les ressources externes. Ça, c'est dans le modèle privé. Dans le modèle public, on le fait déjà, ça. Alors, moi, ce que je veux, c'est un ensemble de ces meilleures pratiques là pour créer un environnement de travail où c'est agréable. Je vous le dis, là, regardez ce qui s'est passé dans la vaccination, il y a des gens qui ont levé la main, à la fin, puis ils ont dit : Là, vous nous retournez chez nous, on voudrait continuer, mais voici les conditions auxquelles on voudrait continuer. C'est ce qu'on va mettre sur la table jeudi.

La Modératrice : Dernière question.

M. Larin (Vincent) : Pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt? Il me semble que ça ne date pas d'hier, là, le manque de ressources dans les...

M. Dubé : Bien, c'est une très bonne question. Mais je vous rappelle, quand on a commencé à négocier avec la fonction publique puis avec les infirmières, on avait dit : La pire chose qui peut nous arriver, c'est de faire traîner les négociations. Rappelez-vous, là, au début, on disait : Il faut régler ça rapidement parce qu'une fois que les conditions vont être réglées on va pouvoir agir. On a réglé la convention il y a un mois. Un mois. Alors là, maintenant qu'on sait c'est quoi qu'on doit livrer, moi, je sais où je dois atterrir, maintenant qu'on a une entente qui est convenue, c'est ça qu'on va faire et c'est ça qu'on va faire jeudi.

La Modératrice : En anglais.

Mme Senay (Cathy) : Mr. Dubé, I just would like to understand. You made a reference to the vaccination operation and how health care workers were happy. What do you want to repeat, in this temporary plan, to attract, not necessarily retain, but at least attract more than 4,000 nurses?

M. Dubé : Yes. Well, first, this is the commitment that we have made when the President of the Treasury Council has commited to this new agreement that is now in effect…

Mme Senay (Cathy) : But they cannot wait this new agreement to take place. You need…

M. Dubé : Yes. Well, it takes place in the next few weeks, it's a matter of days, of weeks. So, what we need to do is to say : We cannot wait three years to pick up the 4,000 nurses that we need because we need to train them, they need… So, what we said : How can we accelerate the hiring of those that are either retired or that have quitted in the last six months?
So, what we're saying is : We have seen what is a winning combination during the vaccination. You've seen all those nurses that were happy to come back from… because they were working in a clean environment, a nice environment. The customers, the patients that were coming were happy to be served on time, no waiting line. All those best practices that we've seen working in vaccination, I'm just making carbon copy, and let's do that in the system. That's exactly what you'll see on Thursday.

Mme Fletcher (Raquel) : …the enquiry that's going on. We're hearing people say, you know, the residents in Herron were treated worst than animals. As the Health Minister…

M. Dubé : Oh! That's terrible. Every article that I see about these Herron cases, to me, it's not acceptable. Each time, the situation that I look at, when I see that, I think of my mother, and never, never I will accept that people are treated the way they were treated in that CHSLD. I think that gives you my comment. I'll never accept that not only my mother, but that people that we love are being treated that way. So, you get my point of view, this is totally unacceptable.

Mme Fletcher (Raquel) : Are you going to nationalize the CHSLDs?

M. Dubé : Well, what we have done, and we're doing that right now, remember, we said : We have about 40… I think it's roughly 40 private CHSLDs that are not conventioned — we call them conventioned CHSLDs. We are working on four or five… I think it's four, we are working on them right now to see what sort of agreement can we make with those actual owners that we… Instead of being fully private, they will be conventioned. So, it means that maybe the ownership stays private, but the mechanism of watching them, of making sure that the standards are there... That's what we are working. So, we are doing it for four out of 40, and, when we have finalized the recipe, then we'll move to the other 40.

La Modératrice : Dernière question.

Mme Greig (Kelly) : Mr Dubé, it seems like it's more… it's children who are under 12 who are now at the fastest growing population for COVID. What measures... I mean, you can't vaccinate them, obviously, but what measures can… Because this is becoming problematic, at this point, because it's blowing up, really.

M. Dubé : Yes. But I want to be careful. First, we all know that the category between 5 and 11 will be vaccinated, hopefully, as soon as possible. But you've seen the news on Pfizer, yesterday. But we need the FDA, we need Santé Canada. But I think, it's a matter… I hope that by November, this is what I'm hearing right now, that at least before Christmas, we could vaccinate a first time that category. OK.?

In the meantime, what we do is we have finally arrived with a situation when we can test in primary schools. It went very well, we put Daniel Paré there, in charge of applying the rapid tests. So, I think, it's a combination of… And that's the reason I'm saying : It's a combination of measures that we need to follow, including the rapid tests, until we are able to vaccinate a first shot in sometimes, hopefully, November, December.

La Modératrice : Merci. Bonne journée.

M. Dubé : Merci, tout le monde...

M. Lecavalier (Charles) : M. Dubé, juste une question…

M. Dubé : Je dois y aller.

M. Lecavalier (Charles) : Jeudi, ça n'a rien à voir avec le mammouth, là?

M. Dubé : Bien, je peux prendre une minute.

M. Lecavalier (Charles) : C'est juste pour…

M. Dubé : Ah! Non, non, c'est important.

M. Lecavalier (Charles) : …un mammouth, en fin de semaine, ça n'a rien à voir, jeudi?

M. Dubé : Non, non, non.

La Modératrice :

M. Dubé : Je peux-tu juste... Marjorie, juste finir parce que ça va permettre de mettre le contexte. Tout ce que j'ai expliqué tout à l'heure, là, ce qu'on a dit, là, ce nouveau modèle de gestion là, il y a plusieurs composantes. Une des composantes importantes, c'est les RH, les ressources humaines. Ça, vous allez l'avoir jeudi. Mais vous allez voir, au cours des prochaines semaines, je vais vous présenter l'ensemble du modèle de gestion. Puis un des préalables, à part les ressources humaines, c'est tout ce qu'on doit faire du côté des TI, tout ce qu'on doit faire du côté des données. Alors, le mammouth dont je parlais, il est notamment du côté des données. Parce que, je vous l'ai dit, le succès, on l'a vu avec la vaccination, plus on a les données pour bien gérer le système, mieux le système est géré. Alors, c'est de ça dont je parlais. C'est bon?

La Modératrice : Merci.

M. Dubé : Ça me fait plaisir. Merci.

(Fin à 11 h 57)

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